Poème sur l'opéra
Des notes égrenées
Douces, langueur d'automne
Un souffle puissant, une envolée
Des paupières qui se ferment
Sur une émotion
Que l'on n'imaginait pas
Cette musique qui transporte
Sur un frisson
Un autre temps, un autre lieu
Des siècles traversés
Par la beauté d'une voix
Ame transcendée